Le rythme Catulle
dimanche 27 décembre 2009
Je me surprends ces derniers temps à avoir envie de lire et relire les ancien(ne)s poètes, à la recherche particulièrement de sonorités bien maîtrisées. Évidemment, je m'épenche de nouveau pas mal sur les poèmes de Verlaine, mais j'ai découvert hier dans une anthologie un poète du 19e siècle qu'il me tarde de découvrir plus... Ses vers ont un rythme et une musicalité qui me plaisent autant que j'ai de plaisir à prononcer son nom : Catulle Mendès.
Une strophe :
Reste. N'allume pas la lampe. Que nos yeux
S'emplissent pour longtemps de ténèbres, et laisse
Tes bruns cheveux verser la pesante mollesse
De leurs ondes sur nos baisers silencieux.
------ Du bonbon quoi.
3 commentaires:
Dent sucrée, va.
Belle trouvaille.
Haha, bon, je vois que ça me colle à la peau (ou plutôt à la dent)... que veux-tu... Va falloir que je me trouve un bon dentiste c'est tout.
Ha ha ha!
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